Je cours, je suis en retard !

Heureusement, il m’a attendu, et a laissé son métro lui passer sous le nez. Nous nous rapprochons discrètement, il voit que j’ai mis ma jupe en serge noire, fendue haut devant… je vois les regards des autres passagers, mais je m’en moque, quoique j’essaye de marcher sans dévoiler mes jolis dessous. Nous jouons tous les deux, un drôle de jeu, une complicité implicite, sans que nous ne nous soyons jamais dit plus que bonjour, bonsoir… La rame arrive, la foule se presse, il m’aide à monter, me prends par la taille afin que nous ne nous perdions pas.

Le train est bourré, comme toujours à cette heure de pointe, et nous nous retrouvons coincés contre la paroi, nos corps collés l’un à l’autre par la foule, Il glisse sa main entre mes cuisses, il ouvre les deux derniers boutons de ma jupe, caresse ma petite verge, prisonnière de son écrin de dentelle… Il passe ses deux mains sous ma jupe ouverte si haut… il caresse mes fesses,, mes bas mes jarretelles tendues… et enfin glisse sa grosse bite entre ms jambes, il se caresse, entre mes cuisses serrées, sa verge contre la mienne… délicieux, si j’osais je crierais mon plaisir, bien sur je ne peux plus vraiment être en érection, mais le plaisir est toujours là !

Je crois que nos voisins devinent qu’il se passe quelque chose… Mais dans une telle cohue… encore deux stations avant le changement, je sens sa verge qu’il masturbe contre moi grossir encore, je sers encore plus les cuisses et il éjacule, je sens son sperme me mouiller… heureusement tout est prévu j’ai pris dans mon sac des mouchoirs papiers et nous nous essuyons discrètement, enfin discrètement…

Nous arrivons à la station, nous glissons entre les gens, il en profite pour me caresser les fesses, mes seins. Arrivée sur le quai, je suis dans un état ! Le décolleté béant, la jupe ouverte jusqu’à la taille, je me rhabille en rougissant sous le regard égrillard des passants. Je lève les yeux vers lui, et je vois son regard brillant, je devine qu’il en veut plus, mais je ne peux pas, je suis en retard, Madame m’attend, elle reçoit des amies et je dois encore faire le service.

J’essaye de lui expliquer, mais il me colle contre le mur, je sens sa verge en érection contre mon ventre… je voudrais lui dire Non, mais il me connait, il sait que je ne sais pas dire Non…

Je lui dis que je n’ai pas le temps de l’accompagner à l’hôtel, que Madame serait en colère et qu’elle me punira...

• Tant pis, je vais te baiser dans les chiottes !

Il m’entraine dans une stalle de chiotte, dont l’odeur fait reculer, mais je n’ai pas le choix alors lorsque il me retourne, relève ma jupe, je n’ai pas d’autre choix que de me baisser, de prendre appuie sur la cuvette… Il colle sa bite contre mon cul, je suis stressée, j’ai du mal à m’ouvrir, alors il me donne deux grandes claques sur les fesses.

• Ouvres toi salope, je vais te baiser comme une chienne, car tu le veux n’est ce pas ?

Je devrais dire, Non, mais je lui dis Oui, mais pourquoi, est ce que je suis comme cela ? Déjà avant je ne pouvais guère m’opposer, mais depuis ma maladie, c’est encore pire, j’accepte.

• Oui je veux que vous me baisiez comme une chienne !

Je relâche mes fesses, en essayant de ne pas vomir, ma tête est presque dans la lunette et celle-ci est ignoble. Il pousse sa bite dans mon cul ouvert et son gland passe sans difficulté, il saisit ma petite bite, la malaxe, l’écrase, j’ai mal, mais cela est bon, je sais que la souffrance est une composante de mon plaisir… - Il est heureusement assez rapide, (je suis en retard !) et après avoir craché son venin dans mon ventre. Il se retire, sans douceur, avant de remettre mon string, je me pose un tempax, il serait désagréable de sentir son sperme me couler entre les jambes… - Je cours sur le reste du chemin de retour mais pourquoi est ce que je peux tout accepter comme cela ?

C’est vrai que je n’ai jamais eu beaucoup de volonté, mais depuis ma maladie, c’est encore pire, je ne peux plus dire Non !

J’arrive à la maison, juste le temps de changer de robe, pour une tenue de servante, enfin plutôt de soubrette, une petite robe noire, courte et très décolletée…. Mes talons de 15, j’ai eu un peu de mal au début, mais maintenant je suis parfaitement à l’aise, c’est vrai que ils donnent une jolie jambe et surtout un déhanché suggestif, qui plait beaucoup à mon Mari.

Eh oui, mon mari, car moi, le dernier marquis de K., je suis la deuxième épouse de Mr Marcus ! Mr Marcus, l’amant de mon épouse…. Sa femme ! Mais cela mérite quelques explications… Dernier rejeton, d’une famille jadis respectable, il ne restait de ce passé glorieux, qu’un titre et beaucoup de dettes. Je me crus sauvé lorsque Véronique, fille unique d’un riche industriel me proposa un marché que je crus honnête, et qui surtout était ma dernière chance de ne pas aller dormir sous les ponts.

Je l’épousais, lui donnais mon nom et en échange elle me sauvait de la ruine…

Dés le début de notre mariage, je compris que j’étais tombé dans un piège…. Véronique X ; était une femme dominatrice, douée d’un fort charisme et surtout d’une libido exacerbée !

Bien évidement, je ne pus la contenter sexuellement et elle me chassa de son lit. Ses amants se succédaient à la maison, et je ne pouvais rien faire d’autre que d’accepter ce fait. Il m’aurait été difficile de réagir, car elle me battait à la moindre occasion, et j’avais appris à faire ‘profile bas’ pour ne pas être puni.

Je touchais le fond de ma honte, lorsqu’elle fit la connaissance d’un certain Marcus, un africain, dont la tenue au lit était aussi bonne que ses habitudes de vie étaient exécrables ! C’était un individu violent qui fit de moi son souffre douleur, non content de coucher avec ma femme, il exigeait que j’assiste à leurs ébats amoureux et que j’y participe, le plus souvent nu et attaché au pied du lit.

J’avais bien essayé de me révolter, mais après 40 coups de martinets, et trois jours de privation de nourriture, j’étais brisé et j’acceptais ces jeux… Lorsque Madame était fatiguée des assauts de son amant, il m’enculait devant elle pendant que je devais lécher cette chatte pleine du sperme encore chaud de son amant.

Les premières fois qu’il me pénétra, je crus que j’allais mourir, non seulement de honte, mais surtout de douleur ! Il avait une verge monstrueuse ! Il fallait bien cela pour satisfaire Madame car je devais désormais l’appeler ainsi…

Avec le temps je commençais à y trouver mon compte, car si j’étais obéissant et soumis, mon Maître me battait avec moins de violences et puis, ce n’était pas désagréable de me faire enculer, Mon Maitre savait comment faire jouir ses ‘femmes’

Oui, ses femmes… Car un soir, alors qu’ils étaient fortement sous l’emprise de l’alcool, il lui était venu à l’esprit l’idée de me faire porter des sous vêtements féminins, et pas les plus sages ! Bas noirs, porte jarretelle… Dans un sens Monsieur, avait raison, ‘l’habit fait le moine, et les dessous sexy, font la pute !’

Il n’eut pas besoin de beaucoup me châtier, pour que je lui avoue que j’avais pris du plaisir à cette situation…

• Allez, esclave, dis nous ce que tu es, et ce que tu aimes !

• Je suis un enculé, soumis et j’aime que vous me sodomisiez, monsieur !

Je pris un double allez et retour sur le visage.

• esclave, dis nous qui tu es, et ce que tu aimes !

Après six autres gifles, la tête me tournait et je compris enfin, ce que je devais dire !

• Je suis votre esclave et j’aime que vous me baisiez en fille soumise !

Il se tourna vers sa compagne, qui souriait de me voir ainsi avilie…

• Tu vois comment l’esprit vient aux filles ?

Il retourna à ses occupations avec madame, mais avant, il se saisit d’une bouteille de champagne vide et me l’enfonça dans les fesses….

• Voilà pour t’occuper pendant que je baise ta Maitresse ! Demain matin, petit déjeuner pour 8h !

Le lendemain, selon les ordres, j’apportais le petit déjeuner de Mr et Mme, et selon la coutume je ne portais qu’un petit string et un collier de chien…

Mr me regarda et prit son air sévère…, je sus que j’avais mal fait ! Il tendit un doigt et me montra le sol… Je savais ce que cela voulait dire, j’avais fauté et j’allais être puni ! J’allais chercher le fouet, le lui tendis en baissant les yeux et me mis à quatre pattes, en lui tendant mes fesses…

Deux coups secs, les larmes me montaient déjà aux yeux…

• Esclave, dis nous ce que tu es, et ce que tu aimes !

Je n’avais pas oublié la leçon de hier soir !

• Je suis votre esclave, et je suis une fille soumise.

Deux autres coups de fouets…

• Une esclave soumise, ne se présente pas devant ses Maîtres habillée ainsi, pour faire son service !

• Mais maître…

Deux autres coups de fouet !

• Quelle idiote ! Si tu es une fille !

Va dans la chambre rose, tu trouveras dans l’armoire de quoi t’habiller, et fais vite !

???

Les larmes aux yeux, je me précipitais dans la chambre et dans l’armoire je savais ce que j’allais y trouver… Une tenue de soubrette, dont je n’avais pas encore compris l’utilité… Mais, maintenant…

Une tenue de soubrette… Plutôt une tenue de pute ! Sous vêtements sexy noirs, jupe à mi cuisse laissant voir la partie supérieure de mes bas…, un regard dans la glace pour ajuster ma coiffe de dentelle, et je vis que mes yeux, mon visage était gonflés par mes larmes… devant moi un nécessaire de maquillage, je supposais que cela allait avec le reste et puis j’étais vraiment à faire peur !

Je perdis un peu de temps, je n’avais pas encore l’habitude… Et je sais que j’en fis un peu trop, les yeux trop chargés, la bouche trop rouge… Mais cela allait avec ma tenue, je ne pensais pas que Mr et Mme, me voulaient ‘sage’…

Un regard dans la glace… Je me plaisais bien, je me sentais sexy, et peut être que Mr Marcus serait moins violent avec mon nouveau ‘Moi’…

Par contre pour descendre rejoindre mes maîtres, avec les talons….

Je me présentais lorsque la sonnette retentit et je les trouvais encore au lit. Mme, puisque Madame il y avait désormais, avait l’air contente et repue sexuellement, les yeux gonflés, la main reposant sur la verge de son amant…

Mais quelle jolie verge ! Il avait du pourtant bien fournir… un membre long et épais, le contraste etre la peau noire et le rose du gland….

Je ne pus m’empêcher de laisser mon regard, insister sur une si jolie chose…

• Eh bien, ma fille, que vous arrive t il ? Reprenez-vous et débarrassez le plateau !

Mais Mr, sourit, heureux sans doute de constater l’effet que me faisait sa bite, sa bite qui gonflait de façon rapide et surtout spectaculaire !

• Allons, laisses là se rincer l’œil… elle l’a bien méritée, regarde comme elle est mignonne…. Viens ici, salope !

Je m’approchais, il souleva ma jupe, passe une main possessive dans ma culotte, libère ma bite, que je ne pus empêcher de bander, la situation est nouvelle et si…

Par contre dans sa grosse main, ma pauvre petite chose semble un peu ridicule…. Il la ressert et me branla sans douceur.

• Et c’est avec cela que tu voulais satisfaire ta femme ? Mais c’est bien, tu es obéissante, viens prendre ton petit déjeuner….

Je compris vite, il écarta les cuisses, sa bite était là devant moi, un membre presque aussi gros et épais que le godemiché, qu’il m’obligeait à m’enfiler chaque matin.

‘Pour me rappeler ma condition’…

Je n’ai pas à me forcer, pour lui obéir, je me penche, je me mets à genoux et embrasse cette bite… Je commence par lui lécher le gland, sa bite est merveilleusement parfumée, mélange se son sperme t de l’odeur de la jouissance de Mme…

Il me caressa les cheveux, et m’empoigna la tête, enfonçant sans douceur son monstre dans ma bouche offerte, je manquais étouffer… et surtout lorsqu’il éjacula violemment.

Un peu vite, mais c’était une forme de reconnaissance de mon ‘travail’…

Il se retira, releva ma tête. J’étais là devant eux, habillée en soubrette sexy, la bouche pleine de sperme, j’avais du mal à tout garder et surtout à avaler.

• Mâches bien, apprécie le miel de ‘Monsieur’ !

Alors sous le regard de celle qui fut mon épouse, je mâchais et j’avalais le sperme de Monsieur… de son amant… J’en perdis quelques goutes, qu’il ramassa avec son doigt et m’enfonça dans la gorge.

Il me chasse d’une claque sur les fesses et m’envoie au travail ! et sans fausse pudeur, il se léve,nu et offre à notre regard, la vision de son corps parfait…

• Eh bien, elle attend quoi, le marquis travestie ?

Retour à la réalité, je me mis au travail, vaisselle, ménage… Je m’habituais très vite à ma nouvelle condition, c’était même mieux, après tout c’était là un travail de femme, et j’en avais la tenue et le comportement….

Enfin de femme, une vision restrictive de la féminité… Plutôt d’esclave domestique et sexuelle !

Je disais donc… Ah oui, je rentre donc à la maison, juste à temps pour prendre mon service.

Un peu de toilette quand même car après mes exploits dans le métro, je pue… En passant devant le petit salon, j’entends des voix…

Mr reçoit ses amis africains….

Je vais encore être ‘le spectacle’ !

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